Les causes les plus fréquentes

Les principales causes de l’incontinence urinaire, ce sont le grand âge et la ménopause. Ces deux facteurs entraînent souvent un blocage au niveau de l’urètre. Chez la femme, on constate un prolapsus de l’utérus ou du vagin et chez l’homme, une hypertrophie. Mais d’autres causes sont courantes telles que la faiblesse du plancher pelvien ou du sphincter. Il faut savoir que les muscles du plancher pelvien et du sphincter jouent un rôle primordial dans le contrôle de la miction, ce qui veut dire que s’il y a faiblesse à ces niveaux, il y a risque de fuites urinaires. Cette faiblesse peut survenir après une opération dans la zone du petit bassin et de l’abdomen, suite à une grossesse ou un accouchement difficile ou encore à cause d’un prolapsus génital.

Obésité, surpoids, infections…

L’obésité peut être à l’origine d’une incontinence urinaire puisque l’accumulation de graisse augmente la pression dans l’abdomen, et le sphincter ne parvient plus à se fermer normalement, surtout à l’effort. En cas de surpoids également, de petits efforts tels que la marche et l’éternuement suffisent pour renforcer la pression dans l’abdomen et bloque la fermeture du sphincter. L’infection des voies urinaires, c’est-à-dire de la vessie, est aussi une cause fréquente de l’incontinence urinaire. Cette infection, appelée cystite, augmente la sensibilité du muscle de la vessie et en cas de contraction volontaire, une fuite survient.

La pneumonie, c’est quoi exactement ?

On parle de pneumonie lorsqu’un malade est atteint d’une infection parenchyme au niveau de ses poumons. L’infection peut être due à des champignons, des virus ou des bactéries, et cause la détérioration des bronchioles, des bronches ou des alvéoles de la personne malade. Dans le cas où l’infection se produit au niveau des bronches, la victime est atteinte de ce qu’on appelle broncho-pneumonie. La pneumonie peut être contractée au niveau de la communauté ou de la société où vit la victime. Il s’agit alors de pneumonie communautaire. Si le virus, champignon ou bactérie a été transmis en milieu hospitalier, il s’agira d’une pneumonie nosocomiale. Dans le cas d’une infection par des produits consommés, la pneumonie est dite d’inhalation. Si tel est le cas, en plus des signes basiques de la pneumonie, la victime peut être sujette à des vomissements fréquents.

Qui peut être victime de cette maladie ?

C’est une maladie qu’on peut rencontrer partout et qui est fréquente. Mais il faut savoir qu’on contracte surtout la pneumonie à partir de l’âge de 40 ans. Les personnes âgées de 65 ans et plus sont également les plus touchées par cette maladie. Les facteurs favorisants sont entre autres, les problèmes rénaux, les effets secondaires de l’ablation de la rate, les situations d’immunodépressions, la consommation d’alcool, l’addiction au tabac, etc. Les personnes touchées par un cas de pneumonie vont de ce fait, présenter une forte fièvre. Elles vont également avoir des frissons et tousser abondamment. On remarquera également de l’expectoration et la personne va facilement s’essouffler. On peut aussi ressentir des douleurs au niveau du thorax et des cas de courbatures si la pneumonie est d’origine virale. Si tel est le cas, il faut se rendre chez un médecin immédiatement. Il peut préconiser une radiographie des poumons et une analyse des crachats. Le traitement à faire dépendra des résultats de ces examens.

Le CBD, c’est quoi ?

Le cerveau humain possède des récepteurs dits cannabinoïdes. Ces derniers sont sensibles aux cannabinoïdes contenus dans les végétaux et le CBD appartient à cette catégorie. Par définition, le CBD ou cannabidiol est une unité organique extraite du plant de chanvre ou du cannabis. Il y est présent en grande quantité à l’état naturel. Existant également sous forme huileuse, en résine et en cristal, le CBD est de nos jours étudié comme une substance essentielle dans certaines médications et comme un complément alimentaire dans d’autres.

Les effets et les bienfaits du CBD

D’une manière générale, le recours au Cannabidiol a été adopté pour traiter les maux d’ordre nerveux comme les angoisses, la dépression et le stress. Des études ont récemment confirmé que le CBD joue un rôle important dans la gestion du stress. Ce qui pourrait expliquer la sensation d’enivrement passager éprouvée par les fumeurs de Cannabis. Un état de stress est habituellement provoqué par des incidents externes contraignants et choquants sur le plan émotionnel. Le CBD agit sur les hormones en interaction avec les endocannabinoïdes secrétés par les cellules nerveuses afin de réguler les comportements négatifs liés au stress ou à l’anxiété. Par ailleurs, le CBD est considéré comme un antidépresseur naturel très efficace. Des chercheurs ont mené des expériences afin de vérifier l’effet du cannabidiol sur la sérotonine, impliquée naturellement dans la gestion des humeurs. Les résultats ont révélé que le CBD améliore l’état mental et réduit amplement les symptômes de dépression. Et contrairement à d’autres éléments constitutifs du cannabis à l’image du THC, les risques de dépendance au CBD sont faibles. Son utilisation ponctuelle est toutefois vivement recommandée.

Les causes les plus fréquentes de la diarrhée

Il existe plusieurs raisons à la diarrhée et dans certains cas, celle-ci peut devenir chronique, ce qui est encore plus problématique. En effet, lorsque la cause de la diarrhée est une maladie intestinale, alors, la diarrhée devient chronique. Mais la diarrhée classique peut être due au stress, à l’anxiété, peut-être à une gastro-entérite virale, ou encore à une intoxication alimentaire. Il arrive qu’une diarrhée se déclenche suite à la prise de certains antibiotiques qui ont tendance à altérer la flore intestinale, réduisant du même coup la capacité d’absorption de la paroi intestinale. L’intolérance au lactose ou l’hyperthyroïdie sont également des causes possibles à la survenue de la diarrhée. Pour information, le choléra est une forme de troubles qui peut entraîner jusqu’à 10 litres de diarrhée par jour. Il est vital de consulter dans les plus brefs délais.

Les complications possibles de la diarrhée

La diarrhée peut engendrer des complications plus ou moins graves qu’il faut éviter par tous les moyens. La plus importante est la déshydratation qui peut être fatale pour un bébé ou pour une personne âgée. Pour une personne hospitalisée et sous antibiothérapie, une diarrhée peut prendre de l’ampleur si elle contracte une infection due au Clostridium difficile. Cette bactérie sécrète deux toxines qui aggravent la diarrhée en réduisant l’absorption de liquide dans les intestins et en accélérant le transit intestinal. Le Clostridium difficile prend du volume dans les intestins lorsqu’il y a affaiblissement de la flore intestinale.

À quoi reconnait-on un AVC ?

Toute une panoplie de signes fait penser à l’accident vasculaire cérébral. La personne peut avoir un trouble de la vision ou une perte totale de la vue. Elle peut également subir un mal de tête très brusque et brutal avec des vomissements. Des étourdissements précédant une perte de l’équilibre, un engourdissement qui pourrait engendrer une paralysie du visage ou des membres ainsi qu’une confusion et une difficulté de compréhension ou d’expression sont également constatés chez qui une attaque cérébrale s’est produite.

Quelques facteurs à risque

Ceci étant, quelques maladies et habitudes peuvent causer un AVC comme la désoccupation, une mauvaise alimentation, l’obésité, le stress à répétition, l’alcool, le tabac et la drogue, l’hypertension artérielle, l’hypercholestérolémie et les contraceptifs oraux.
Les plaques lipidiques blanchâtres se formant sur les parois artérielles, qui s’épaississent, qu’on appelle athérosclérose sont l’un des premiers agents responsables de l’AVC en passant par l’hypertension ou l’anévrisme. L’accident vasculaire cérébral présente 3 cas différents :
o la thrombose cérébrale qui touche les 40 % à 50 % des patients. C’est la formation d’un caillot sanguin sur l’athérosclérose.
o L’embolie cérébrale où le caillot contenu dans le sang venant du cœur ou du cou s’arrête sur une artère défaillante. Cette manifestation atteint les 30 % des malades.
o L’hémorragie cérébrale quant à elle est le cas le plus grave, mais elle représente le taux le plus bas (20 %). L’hémorragie se produit lors d’une rupture d’anévrisme au niveau du cerveau.
L’AIT, accident ischémique transitoire dit aussi mini-AVC où l’obstruction artérielle est temporaire par le fait que l’irrigation du cerveau diminue. Les symptômes disparaissent en 24H et l’attaque ne laisse pas de séquelles, mais il signale un vrai accident vasculaire à venir et ne doit pas être pris à la légère.

Traiter un AVC

Qu’une artère est bloquée ou quand une hémorragie est survient, les médecins proposent des traitements médicamenteux ou procède tout de suite à la chirurgie.
Concernant les médicaments, lors d’une thrombose ou d’une embolie, un activateur du plasminogène tissulaire est à injecter par intraveineuse 3 h à 4 h 30 après l’attaque. Ensuite, un anticoagulant ou antiplaquettaire est prescrit. Ces substances permettent de faire disparaître les caillots progressivement ainsi que prévenir leur grossissement. Ils évitent également la formation de nouveaux caillots.
Quand une hémorragie se présente, les antihypertenseurs sont les premiers remèdes pour baisser la tension et empêcher un nouveau saignement. Si une crise d’épilepsie survient à la suite, les médecins administrent des benzodiazépines.
Cependant, la chirurgie peut être faite à titre de prévention quand une artère est bloquée. L’endartériectomie de la carotide consiste à nettoyer la paroi de la carotide affectée par la plaque de lipide. Durant une angioplastie, un ballonnet contre le blocage et une tige métallique contre le rétrécissement seront introduits dans l’artère.
Face à une hémorragie, le médecin peut emboliser l’artère à l’aide de filaments de platine pour pallier la dilatation du vaisseau et prévenir la rupture d’un anévrisme.
Puisque les séquelles d’un AVC peuvent être graves et plus ou moins irréversibles, une rééducation ou une réadaptation s’avère indispensable. Cette dernière oriente les cellules nerveuses indemnes à prendre en charge les fonctions de celles qui ont été lésées. Beaucoup de spécialistes sont compétents dans ce domaine, par exemple un physiothérapeute, un diététicien, un orthophoniste, un ergothérapeute, un psychiatre et autres.

Prévenir un AVC

Sans tabac, moins d’alcool, moins de stress et plus de sport sont les premières recommandations qui diminuent les risques d’un accident vasculaire. Les aliments doivent être moins salés, mais riches en potassium et magnésium. Cela permettra par la même de surveiller son poids.
Sur le plan médical, il s’agit surtout de surveillance. Faire souvent des examens pour contrôler la tension artérielle, le cholestérol et la glycémie. Traiter une maladie cardiaque s’il y en a. contre la récidive, les anticoagulants (dabigatran) et les antiplaquettaires (bisulfate de clopidogrel) sont très efficaces.